dimanche 15 mars 2009

Cape Kidnappers





Il pleut. Day off!

On profite pour roupiller jusqu'à 11 heures et demie. En même temps, vu la bringue de la veille, il y aurait eu fort à parier pour que notre rendement aurait été plutôt médiocre. Gueule de bois et pluie mais motivation quand même. En début d'après-midi, on embarque Ulrica et Simon pour une troisième tentative de parcourir Cape Kidnappers, ou Te Kauwae-a-Māui en maori. Promenade en bord de mer, le long d'une falaise de sable et de charbon. Il faut être à l'heure au rendez-vous car l'accès aller et retour est fonction de la marée. On se renseigne sur place. Apparemment, nous sommes juste dans les temps, à peine à marée descendante. La balade est vraiment sympa, le paysage assez spectaculaire. Les couches se superposent : Sandstone, Greywacke, C1C... La géologie du site est impressionnante, que des cas d’école : sédimentation, érosion et tectonique des plaques dans toute leur splendeur.
Aussi, l'endroit est réputé pour ce qu'il héberge un des plus vastes sites de nidification de fou austraux (Morus serrator), tout du moins, en milieu continental. Entre temps, on aura pu observer Grand cormoran (Phalacrocorax carbo), Huitrier variable (Haematopus unicolor), Goéland dominicain (Larus dominicanus), la mère et le fil, un Pipit de Nouvelle-Zélande (Anthus novaeseelandiae), un couple de Martins-chasseur sacrés (Todiramphus sanctus), et un moteur de Super cinq (C1C) complétement fossilisé.

Aussi, l'endroit est réputé pour ce qu'il herbége  un des plus vastes site de nidification de fou austraux (Morus serrator), tout du moins, en milieu continental. Entre temps, on aura pu observer Grand cormoran ( Phalacrocorax carbo), Huitrier variable (Haematopus unicolor),Goéland dominicain (Larus dominicanus), la mère et le fil, un Pipit de Nouvelle-Zélande (Anthus novaeseelandiae), un couple de Martins-chasseur sacrés (Todiramphus sanctus), et un moteur de Super cinq (C1C) complétement fossilisé.

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