On profite pour roupiller jusqu'à 11 heures et demie.
En même temps, vu la bringue de la veille, il y aurait eu fort à parier pour
que notre rendement aurait été plutôt médiocre. Gueule de bois et pluie mais
motivation quand même. En début d'après-midi, on embarque Ulrica et Simon pour
une troisième tentative de parcourir Cape Kidnappers, ou Te Kauwae-a-Māui en
maori. Promenade en bord de mer, le long d'une falaise de sable et de charbon.
Il faut être à l'heure au rendez-vous car l'accès aller et retour est fonction
de la marée. On se renseigne sur place. Apparemment, nous sommes juste dans les
temps, à peine à marée descendante. La balade est vraiment sympa, le paysage assez
spectaculaire. Les couches se superposent : Sandstone, Greywacke, C1C... La
géologie du site est impressionnante, que des cas d’école : sédimentation,
érosion et tectonique des plaques dans toute leur splendeur.
Aussi, l'endroit est réputé pour ce qu'il héberge un des
plus vastes sites de nidification de fou austraux (Morus serrator), tout
du moins, en milieu continental. Entre temps, on aura pu observer Grand
cormoran (Phalacrocorax carbo), Huitrier variable (Haematopus
unicolor), Goéland dominicain (Larus dominicanus), la mère et le
fil, un Pipit de Nouvelle-Zélande (Anthus novaeseelandiae), un couple de
Martins-chasseur sacrés (Todiramphus sanctus), et un moteur de Super
cinq (C1C) complétement fossilisé.
Aussi, l'endroit est réputé pour ce qu'il herbége un des plus vastes site de nidification de fou austraux (Morus serrator), tout du moins, en milieu continental. Entre temps, on aura pu observer Grand cormoran ( Phalacrocorax carbo), Huitrier variable (Haematopus unicolor),Goéland dominicain (Larus dominicanus), la mère et le fil, un Pipit de Nouvelle-Zélande (Anthus novaeseelandiae), un couple de Martins-chasseur sacrés (Todiramphus sanctus), et un moteur de Super cinq (C1C) complétement fossilisé.
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